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Le billet
Roman historiqueRoman aux accents balzaciens, Le Billet nous révèle que le déchaînement de passions déclenché par l’arrivée d’une jeune aristocrate provinciale dans le Marais du « Grand Siècle » aurait été à l’origine d’une remarquable invention : le billet de banque.
« Bien écrit et agréable à lire, l’histoire est passionnante ! » Richard H.
Le billet

Roman aux accents balzaciens, Le Billet nous révèle que le déchaînement de passions déclenché par l’arrivée d’une jeune aristocrate provinciale dans le Marais du « Grand Siècle » aurait été à l’origine d’une remarquable invention : le billet de banque.
« Bien écrit et agréable à lire, l’histoire est passionnante ! » Richard H.
Sommaire
Première partie : Torçay
Chapitre I – L’inconnue de Saint-Ange
Chapitre II – Le plafond en coupole
Chapitre III – Le bal de Maillebois
Chapitre IV – Le rocher sur la mer
Chapitre V – Stella
Deuxième partie : Derrière les murs
Chapitre VI – Quartier de noblesse
Chapitre VII – Les Wedel
Chapitre VIII – Aveu de faiblesse
Chapitre IX – L’ordre des choses
Chapitre X – Une folie
Troisième partie : Soufre et papier
Chapitre XI – La misère des grands
Chapitre XII – Le dîner
Chapitre XIII – Le clocher de Saint-Paul
Chapitre XIV – Le porteur d’eau
Chapitre XV – Dernières impressions
Épilogue
Collection
Autres collectionsL'auteur
Description
Fille unique de René Louis de Revillier, officier de marine, et de Françoise Chosny de Rencourt, Marie-Anne de Revillier, née en 1638, passe une enfance heureuse dans le château familial du Thymerais. Après le décès de son père dans un naufrage, Marie-Anne monte chez une tante à Paris où elle devient rapidement une des personnalités les plus en vue du Marais.
Lors du bal organisé à l’occasion de ses 19 ans, elle est présentée au baron Edouard Wedel, banquier de son état, qui s’éprend immédiatement de cette jeune aristocrate provinciale. Elle consent à l’épouser, mais la passion que lui voue cet homme, n’est pas partagée. Marie-Anne s’ennuie et son existence parisienne lui devient pesante. Elle finit par tomber dans les griffes du duc de Brantonge, personnage superficiel et sans scrupule, qui l’utilise pour satisfaire ses ambitions politiques.
Brantonge parvient ainsi par son entremise à obtenir un crédit de 30 millions de livres auprès de la Banque Wedel. Pour financer ce prêt considérable, Edouard Wedel recourra à un subterfuge aussi simple que génial : il inventera le billet de banque. Mais si elle survivra à son auteur, cette invention brisera l’existence de nos protagonistes, qui, aveuglés par leur passion, oublieront que personne n’échappe à son destin.
Ils l’ont lu, ils en parlent :
« C’était un réel plaisir de passer quelques moments de lecture plongé dans cette histoire. J’ai été particulièrement sensible à l’écriture élégante qui fait bien revivre l’époque : par le style, par les descriptions et les détails on est vraiment au XVIIe en Normandie et dans le Marais avec des personnages bien vivants et singuliers. » Adrien de D.